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| Bienvenue sur mon site, j'espère qu'il vous plaira et vous donnera envie de le faire connaitre a vos amis ! http://daltonspage.free.fr/Presentations.htmhttp://daltonspage.free.fr/index.htmMon Pseudonyme: Dalton
Quand le soleil se pointe à l'horizon...
[taille=13]1 - Les moyens de rencontre utilisés par l'homme.
2 - L'adaptabilité des individus au pire comme au meilleur.
3 - Prise en compte des effets de la mondialisation unissant les peuples dans un destin commun.
4 - Le bien-fondé d'une cohabitation de tolérance et de respect mutuel.
[Se rencontrer c'est se mélanger]
La Terre avant les rencontres
Dès le début de leur histoire, les hommes se sont donnés les moyens de se rencontrer
Recours à l'espoir impérieux de vivre ensemble notre différence
Je pense qu'à défaut de changer le monde nous pouvons par nos choix et nos aspirations préserver ce qui peut l'être encore en cultivant au quotidien des idéaux de bon sens, d'amour, et de tolérance, en vue de maintenir et de faciliter l'épanouissement de chacun pour une vie meilleure car le paradis, on doit le vivre aussi ici.
Pour se faire nous devons participer à l'évolution positive culturelle des mentalités afin de trouver l'amour nécessaire d'un respect mutuel.
Mieux vaut tard que jamais
En juillet 2002 le Pape Jean Paul II lors de son déplacement au Canada dans la ville de Toronto, a l'occasion des JMJ dans son message de paix et d'espoir a regretté et demandé pardon au nom de l'église, à tous les pays, et les peuples accablés d'injustices par l'égoïsme des grandes puissances.
Il a fustigé la misère dans le monde, regretté la Shoah du peuple juif, dénoncé les conséquences de l'esclavage des noirs, déploré que dans le monde on favorise plutôt la force des armes au détriment de la force de l'âme. Et en conclusion a souhaité l'avènement d'un monde meilleur et plus fraternel.
Les dindons de la farce
Notre difficulté pour parvenir à ce monde meilleur, réside dans ce conditionnement de vanité qui limite notre capacité à nous aimer les uns les autres.
Nos sociétés dites civilisées et modernes sont érigées sur des bases culturelles coercitives,dissumulées insidieusement par des shémas philantropiques.
Pour s'en convaincre il nous suffit d'apprécier à posteriori, la nature, la richesse, et la diversité des pays des 5 continents et de constater les dégâts et les divisions qui s'y sont opérées en si peu de temps, à cause des guerres, de la pollution et de l'exploitation des peuples anexés par les grandes sociétés prédatrices qui leur inventé des croyances et des religions, les aliénant, les obligeant à s'y soumettre de gré ou de force en les hiérarchisant sous des critères raciaux, pérennisant ainsi leur domination sur la désespérance des plus faibles et la domestication des plus forts.
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Il n'est point de mystère
Quand un être vient au monde quelle que soit ses origines et sa patrie il porte en lui tous les espoirs de ses parents et de l'humanité, il devient néanmoins avec ses acquis génétiques ce qu'il doit être en fonction des dispositions sociales et économique que lui concède la société à laquelle il appartient.
Tout en admettant que les hommes et les femmes sont des êtres a part entière libre, égaux en droit, force est de constater que certains sont moins libres, ont moins de droits que d'autres, et sont traités entièrement à part. De fait la société s'achemine crescendo vers sa déshumanisation et à la perte des valeurs élémentaires au profit des mirages virtuels qui nous sont imposés par les agents de la société de consommation, entraînant le citoyen dans l'empiègement de l'égoïsme, de la solitude, et à la peur du lendemain.
Le poids des mots
En changeant nos mentalités en esprits solidaires, nous pouvons faire échec aux catastrophes annoncées en nous aimant les uns les autres ou à défaut en nous respectant au delà de nos différences.
Le mépris, le rabaissement, le deni, nuisent à l'acceptation de soi et à la reconnaissance de l'autre. Nous devons souffler sur la braise de notre être pour raviver la flamme, celle-là même qui avait permis à nos parents d'origines diverses de croire en une société de liberté, d'égalité et de fraternité.
On ne peut plus éduquer nos enfants et leur léguer ces réflexes de violence permanents qui vantent le paraître au détriment de l'être au point de trouver normal de se "vendre" pour décrocher un emploi plutôt que de vendre ses compétences.Nous ne devons plus ignorer les frustrations de ceux qui vivent dans l'indignité pour le fait qu'on les voit différement.
Notre société doit faire amende honorable en rendant moralement délictueux les comportements et les propos indignes à l'encontre des personnes que l'on méprise en les qualifiant de " bougnoules, négros, de raciste , blacks,chintoks, mongols, pédé, youpin et de raciste ".
La violence appelle la violence.
Dans ce climat délétère, les répliques n'en sont pas moins pathétiques puisqu'elles traitent les provocateurs de racistes, confortant par là leur fantasme de supériorité raciale.
Ce sentiment de rejet, d'ostracisme des uns envers les autres- le racisme- tient essentiellement aux conditions de vie plus ou moins mal vécues par des gens dits "intégrés" ou des nationaux en perte de confiance en quête de droits privilégiés.L’issue de secours que nous cherchons pour une vie meilleure on ne pourra la trouver dans se sentiment d’orgueil que l’on
exprime parfois par notre indifférence vis a vis des autres.
Notre salut ne viendra pas non plus par la multiplication des portes
blindées et des barrières métalliques supplantées de caméras qui
ornent nos résidences et nos villas.
Notre liberté pour des relations normales passe par plus de confiance
en soi, de tolérance et à l’acceptation de l’autre dans sa différence.
Comment ne pas comprendre les souffrances et les drames engendrés
par les conditions existentielles sur fond de crise économique que vivent certains «français d’en bas » , et plus particulièrement ceux qui sont concentrés dans les tours des cités HLM au milieu d’une majorité de travailleurs immigrés laissés pour compte. Notre pays est doté de structures, d’études et de recherche efficace (sociologie, l’ethnologie, théologie) où encore d’associations pour la sauvegarde des moulins à vent ou celle de la protection des crapauds et des chauves souris...
Pourtant ces ghettos ont été réalisés dans l’indifférence de ceux qui les dénoncent aujourd’hui.
Pourquoi les associations des droits de l’homme et de l’environnement, n’ont-ils pas exigés des architectes et des élus d’habiter ces logements en compagnie de leur familles au moins un mois par ans. Si cela avait été fait peut être qu’aujourd’hui le climat social et le panorama des constructions aurait été différent.
Ce qui n'est pas bon pour l'oie ne convient pas au canard.
Nous sommes singulièrement pluriels mais nous avons en commun la même aspiration à la reconnaissance de notre entité; or, dès le départ nous constatons une intention académique de galvauder délibérément la légitimité de cette reconnaissance universelle par le sens imagé et les termes employés pour désigner chaque race.
C'est ainsi qu'on peut lire, dire et penser que les européens sont blancs, que leur couleur incarne la pureté, la clarté, la propreté. Que les indiens sont rouges et que leur couleur symbolise la couleur, le sang et la violence. Que les asiatiques sont jaunes et que leur couleur s'apparente à l'or, au citron...Que les africains sont noirs et que leur couleur est synonyme de perfidie, de saleté voire de péché! En ces temps difficiles de crise économique sur fond de mutation multiple, on mesure la porté et les conséquences néfastes de ces préjugés.
Dupés par la stratégie du grand capital à des fins mercantiles, dans les années 50, nos gouvernements nous ont promis le plein emploi, l’épargne individuelle, et la protection sociale permanente pour tous .Durant 30 ans, nous avons cru à la liberté et à l’indépendance individuelle, tel un pêcheur à la ligne; c’est le temps qu’il leur à fallu pour nous mouliner.
Un homme, une voix. Une femme , une voix.
Dans les années soixantes, le président américain John Fitzgerald Kennedy, six mois avant son assassinat, avait proposé devant le parlement de son pays une réforme de loi visant à remplacer sur les cartes d'identité des noirs américains la désignation "black " au profit du terme splend. Ceci disait-il, pour légitimer l'égalité d'estime des races.
Nous pouvons honorer sa mémoire en exhaussant son voeu en surmontant nos réflexes habituels nous arriverons à penser, à considérer et à dire d'un africain qu'il est de couleur "splend "...peut être arriverons nous avec le temps à le réhabiliter dans notre sentiment d’égalité et que certains d’entre eux ne seront plus obligés de se blanchir la peau pour se faire accepter. Nous pouvons aussi bannir de notre vocabulaire les expressions imagées , tellesl que : avoir des idées noires , broyer du noir , bête noire , colère noire , série noire , liste noire , journée noire , humour noir , roman noir , marché noir , mouton noir …
Pas deux poids deux mesures...
En Mars 2005, l'ex-commissaire européen de nationalité néerlandaise, M. Bolkestein a accusé les français de xénophobie à cause de la connotation germanique qu'il supposait entendre dans la prononciation de son nom un sens péjoratif . Grâce à sa notoriété les français ont dû prononcer son nom différement.
Concernant internet, devant la popularité de l'anglais, les médias ont préconisé l'emploi du mot "courriel " à la place d "e-mail".Avec le concourt d'un plus grand nombre de défenseurs des droits de l'homme, il nous est possible de vulgariser dans la pratique le mot "splend".
Liberté, égalité, fraternité: ne plus galvauder cette idée universelle
Depuis la nuit des temps les civilisations dominantes ont connu des cycles de turbulences sociales.
De nos jours, pour la première fois dans l'histoire du monde, les secousses sont planètaires puisque les notions de distances n'ont plus le même sens.
Grâce -ou à cause- aux technologies les continents sont liés à court ou long terme à un destin commun.La culture anglo-saxone a conquit le monde avec ses avantages et ses inconvénients.
L'exploitation des ressources naturelles a toujours permis de faire vivre et de soigner un plus grand nombre de personne. L'espérance de vie des populations augmentant, la production des biens de consomation nécessiteront toujours plus de ressources et d'énergie.
On s'attend à un accroissement global de la de la température et de la pollution . Un grave péril nous semble imminent.
L'humanité commence à prendre peur et à douter de son avenir car le danger est réel.
En attendant que sonne le glas,les plus riches s'enferment dans leur égoïsme tandis que les plus démunis, frustrés se radicalisent. Certains invoquent le rascisme, d'autres les religions mais le vrai coupable est le manque d'amour et de fraternité.
Le bien-être, le bonheur n'ont pas de prix ni decouleur.
Si on se contentait simplement du nécessaire, on comprendrait bien vite que l'argent et le profit sont les véritables causes des graves troubles qui nous attendent.
Rendons évanescente la bêtise humaine
Certaines théories développées et diffusées par des scientifiques bien intentionnés nous ont enseignés que les races étaient différentes. Par exemple ils disent que comparativement aux occidentaux les africains sont pourvus d’une structure osseuse différente au niveau de la jambe qui les favoriserait dans les compétions d’athlétisme, et que grâce à leur carrure musculaire ils dominaient en boxe. Hors n’en déplaise à ces manipulateurs on sait de nos jours que tous les hommes de n’importe quel contient sont capables d’avoir les meilleurs résultats dans toutes les disciplines grâce aux moyens dont ils disposent et a leur persévérance à l’entraînement nous connaissons tous l’exploit de l’athlète suédoise Carolina Kluft aux championnats du monde ( 2005 ) , nous avons en mémoire l’ancien champion de monde de boxe Marcel Cerdan . Nous connaissons aussi les poèmes de Léopold Senghor, d’Aimé Cesaire , les écrits de Victor Hugo , d’Isabel Allende et de Pierre Bourdieu .
De nos jours comment ne pas faire fi de ces défaitistes héritiers de ceux qui par le passé nous ont berné en affirmant que certains hommes descendaient du singe et d’autres d’Adam et Eve .
Fort heureusement petit à petit les consciences s’ouvrent et laissent apparaître le bon sens en vue de tisser des liens d’amitié et de fraternité dans le monde.
Pour exorciser une injustice , une blessure verbale ou comportementale ; et si vous avez été témoin d'un dénouement heureux concernant une ignominie, faites nous part de vos expériences qui j'espère, aideront certains à se sentir moins seuls.
Les chiens se mordent la queue.
Le 28 mai 2006 un fait divers surréaliste a eu lieu en plein jour dans Paris rue des rosiers (4ème arrondissement).
Ce jour là un groupe d'individus anti-sémites, désigné noir ethniquement se faisant appeler « TRIBU KA», a attaqué violemment des personnes de la communauté juive, et des homosexuels. Le paradoxe est que ces agresseurs font partie des minorités les plus discriminées et les plus décriées par une certaine population xénophobe et moralisatrice .
Par ces agissements les assaillants ont fait preuve de leur adhésion aux thèses sectaires des radicaux racistes et soi disant « Elus des dieux ». Ils ont fait fi de la condition de liberté, d'égalité, de droit et de justice pour tous que la république essaie tant bien que mal de maintenir à flot. J'ose espérer que de tels agissements ne puissent jamais trouver d écho dans le choix d'une quelconque revendication.
Le droit universel de l'humain.
On avait dit "utopie", 1789: Prise de la Bastille, 1945: l'Armistice est signé. La paix est de mise entre la France et l'Allemagne: 1950 LEOPOLD- SEDAR-SENGHOR Président du Sénégal et académicien français, créait la négritude, un courant de pensée d'une thématique de complainte masochiste, teintée de reddition.
Dans cette démarche il trouve un soutient remarqué en la personne du poète et politicien martiniquais AIME CESAIR, 1955: L'Américain CASSIUS CLAY baptisé et décrit ethniquement noir, change son état civil et se fait nommer MOHAMEND ALI, 1999: La députée guyanaise CHRISTIANE TAUBIRA, obtient des institutions que soit reconnus crimes contre l'humanité l'esclavage et la déportation des millions d'africains quatre siècle durant.
De ses quelques exemples, mon rêve repose sur l'espoir de voir un jour un sursaut d'émancipation, ou d'orgueil de la part d'une personnalité influente, charismatique humaniste ,voir, Négritudiste! , porter sur les fonds baptismaux, à l'instar des droits de l'homme, le droit universel de l' humain, un mot, un adjectif positif, beau, qui impose le respect comme blanc, rouge, jaune et qui figurerait comme tel dans le dictionnaire en substitution de la signification du mot noir tristement négatif, qui décrit physiquement une catégorie d'individus .Si cette démarche légitime devenait réalité, le carré d'as éthique des ethnies serait respecté équitablement dans son intégrité. Ainsi la tolérance, l'échange, l'amour librement consenti, engendreraient alors, aux quatre coins du monde des arcs-en-ciel humains.
On prend les mêmes et on recommence.
Le 11 Mars 2007, le président Jaques Chirac dans son allocution télévisée informait les Français qu’il ne briguerait pas un troisième mandat à la présidentielle du mois d’avril. Il a exhorté les candidats potentiels de se garder de composer, et de flirter avec les partis extrémistes qui pourraient entraîner de nouveau la France à revivre la situation calamiteuse des années quarante.
Il a mis le ton sur la nécessité du peuple républicain dans sa diversité à vivre ensemble dans la tolérance en préservant les valeurs de la laïcité, essentielle à la sauvegarde de notre démocratie.
Il a déploré et fustigé l'idée d'un des candidats qui propose, s'il est élu de créer un ministère de l'immigration et de l'identité national et dans la foulé pour mieux gérer les flux migratoires, tout en favorisant l’immigration choisie,, comme au bon vieux temps où la France déportait aux Amériques les hommes et les femmes les plus valeureux pour la servilité.
De nos jour se sera au tour de ces mêmes pays d'être dépouillés de ses propres diplômés, au nom de la croissance économique de la France, cette dernière par là-même, priverait l' Afrique de ses potentialités.
Concernant le volet social et l’immigration, le Président Chirac a suggéré que les pays riches respectent mieux les pays en voies de développement, en honorant correctement les prix de leurs matières premières et de leurs services. Cela permettrait à ces populations de rester chez elles et d’accueillir avec encore plus de générosité et d’humanité les visiteurs du monde.
On sait le coût et les sacrifices que concède un pays pour faire d’un enfant un travailleur, on mesure le bénéfice d’avoir des hommes et des femmes opérationnels à si bon compte. Cette réalité devrait être connue et enseignée à nos petites têtes blondes…
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